Le Saint Curé d’ars : conseil pour reconnaître un bon prêtre.

Curé d'Ars« Si un pasteur reste muet en voyant Dieu outragé et les âmes s’égarer, malheur à lui ! S’il ne veut pas se damner, il faut que, s’il y a quelques désordres dans sa paroisse, il foule au pied le respect humain et la crainte d’être méprisé ou haï de ses paroissiens ; et serait-il sûr d’être mis à mort après être descendu de chaire, cela ne doit pas l’arrêter.
Un pasteur qui veut remplir son devoir doit toujours avoir l’épée à la main pour défendre les innocents, il poursuivra les pécheurs jusqu’à ce qu’ils soient revenus à Dieu; cette poursuite ne doit cesser qu’à sa mort. S’il ne se conduit pas de cette manière, c’est un mauvais prêtre, qui perd les âmes au lieu de les conduire à Dieu. »

Travaillez comme le bon soldat du Christ-Jésus, pour « la paix du Christ dans le Règne du Christ ».

Christ the King stained glass window

 

Voici un extrait de la cinquième édition de la Fête spéciale de Jésus-Christ Roi, par le R.P. Édouard HUGON, O. P.   : petite lecture opportune pour la Fête du Christ-Roi, fête que nous vous souhaitons bonne et surtout sainte !

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Saint François d’Assise : « prenez garde, aveugles ! »

Résultat de recherche d'images pour "Saint François d'Assise"(…) Tous ceux qui ne vivent pas dans la pénitence; qui ne reçoivent pas le Corps et le Sang de notre Seigneur Jésus-Christ; qui s’adonnent aux vices et aux péchés; qui suivent leur pente vers le mal et leurs mauvais désirs; qui n’observent pas ce qu’ils ont promis d’observer; qui font de leur corps l’esclave du monde, des désirs charnels, des soucis et des agitations ambitieuses d’ici-bas : séduits par le diable dont ils sont les fils et dont ils accomplissent les œuvres, ce sont des aveugles, car ils ne voient pas la vraie lumière notre Seigneur Jésus-Christ.

Ils ne possèdent pas la sagesse spirituelle, puisqu’ils n’ont pas en eux le Fils de Dieu, qui est la vraie sagesse du Père. C’est d’eux qu’il est dit: Leur sagesse a été engloutie. Ils voient le mal, ils le reconnaissent comme tel, ils le font sciemment, et sciemment ils perdent leur âme.

Mais prenez garde, aveugles: vous vous êtes laissé séduire par vos ennemis, qui sont la chair, le monde et le diable, parce qu’il est bien agréable pour le corps de commettre le péché, et très amer de servir Dieu, parce que tous les vices et péchés sortent et procèdent du cœur de l’homme, comme dit le Seigneur dans l’Évangile. Vous n’avez rien à vous, ni en ce monde ni en l’autre.

 

L’Église est le seul et vrai Israël, la Bible le prouve (par Guillaume sur Radio Regina)

Vraiment très bonne intervention de Guillaume, qui gère le site Fide Catholica :
https://fidecatholica.wordpress.com/

Cette vidéo, traitant de la question de Dieu au fil du temps depuis la création dans son rapport avec les hommes, et de ce que les hommes en ont fait (il est traité de la défiance des juifs envers Dieu et de leur apostasie, dont le traité de Saint Jérôme en perfectionnera la compréhension), démontre simplement et clairement par l’Écriture Sainte la légitimité, la véracité de l’Église Catholique, et de l’arrivée du Christ notre sauveur promise dans l’Ancien Testament, préfigurée par exemple dans la Genèse, chapitre XVIII, verset 1 à 3 :
« Le Seigneur apparut à Abraham en la Vallée de Mambré, lorsqu’il était assis à la porte de sa tente dans la plus grande chaleur du jour. Abraham ayant levé les yeux, trois hommes lui apparurent, debout près de lui. Aussitôt qu’il les eut aperçus, il courut devant eux, se prosterna en terre. Et il dit  : Seigneur, si ‘ai trouvé grâce devant vos yeux, ne passez pas devant votre serviteur sans vous arrêter. »
C’est ici que l’on voit l’évidence, entre autres nombreux endroits dans le pentateuque, et tout l’Ancien Testament, de la Très Sainte Trinité Notre Dieu. Car il est dit que le Seigneur apparait au singulier, et qu’il y a trois hommes, et que Saint Abraham le nomme au singulier : « Seigneur ». C’est d’ailleurs ce qu’affirme le Docteur Angélique à propos de ce passage.

Nous vous invitons aussi, chers lecteur, à suivre le site de Radio Regina, qui est très bien agencé et donne accès à une bibliothèque numérique édifiante, voici le lien :
https://radioregina.info

Le système éducatif de Saint Jean Bosco – livre à télécharger.

Saint Jean BoscoNous vous proposons une lecture qui pourrait bien aider de nombreux parents. Selon les circonstances, le père, et/ou la mère, pourra réfléchir, méditer sur tel ou tel point de l’éducation de ses enfants. Le Seigneur, par sa providence, guidait les pas de Don Bosco dans son œuvre éducative, œuvre parmi bien d’autres, mais quelle œuvre ! Il nous semble que, plus que jamais, dans un tumulte mondain et peccamineux, ivre de licence, de superbe,  d’impiété et de scandales, les parents ont certainement besoin de conseils et ainsi de redécouvrir le système de Don Bosco (le système Salésien),  afin de faire gagner le ciel à nos petits.

Vous pouvez télécharger le livre sur ce lien :
https://archive.org/download/DonBoscoMethodeEducation/DonBosco-MethodeEducation.pdf

Vous pouvez aussi télécharger « les belles histoires de Don Bosco » ici :

Cliquer pour accéder à DonBoscoHistoiresEtReves.pdf

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L’imposteur Montini (Paul VI) : quelques frasques dans une multitude.

« L’enfonçage de portes ouvertes » est-il bien nécessaire ? Il se pourrait bien que oui, malheureusement. Quel symbole pour les sectaires modernistes que cette « canonisation », après la béatification de Jean XXIII. Montini, comme chacun sait a parachevé le conciliabule de Vatican II. Procédons donc à une petite saillie rétrospective, en énumérant seulement quelques points…

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Le très célèbre cabaliste Eliphas Lévi, (ex abbé Constant) auteur du fameux livre “ Dogme et rituel de la Haute Magie ”, dans son ouvrage “ Le Grand Arcane ”, publié en 1896, après avoir maudit les anathèmes de l’Église catholique comme “ des actes de la papauté de Satan ” (Eliphas Lévi, “ Il Grande Arcano ”, Atanor, 1989, p. 84) écrivait : “ un jour viendra où les derniers anathèmes d’un Concile oecuménique seront ceux-ci : maudite soit la malédiction, que les anathèmes soient anathèmes, et que tous les hommes soient bénis ! Alors on ne verra plus d’une part l’humanité et de l’autre l’Église. Parce que l’Église embrassera l’humanité et quiconque sera dans l’humanité ne pourra pas être en dehors de l’Église ”. Montini en est l’un des applicateurs.

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L’ORDINAL DE PAUL VI EST INVALIDE – RAPPEL.

Note : pour approfondir ce sujet, la lecture des travaux de Rore Sanctifica peut s’avérer utile :  http://www.rore-sanctifica.org

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Par M. l’Abbé Henri Mouraux.†

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L’Eucharistie jusqu’à la fin des temps – citations.

Résultat de recherche d'images pour "l'Eucharistie fin des temps"Il va de soi que nous parlons ici du véritable sacrement de l’Eucharistie, non pas du faux rite provenant du conciliabule Vatican II. De même, il va de soi que cette Oblation pure, comme l’annonçait le saint prophète Malachie (Sap. I, 11), ne saurait être pure si le Saint Sacrifice de la Messe est fait en communion avec les hérétiques, ce qui constitue évidemment un sacrilège, comme le commet notoirement l’ensemble de la FSSPX entre autres exemples… Il parait assez simplet de le rappeler, pourtant de nos jours il le faut… Toujours est-il que le Magistère de l’Église enseigne de façon limpide que la Sainte Eucharistie, centre de la religion chrétienne, sera parmi nous jusqu’au retour du Seigneur.

 

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Fin naturelle et fin surnaturelle de l’homme par l’Abbé Rohrbacher.

Résultat de recherche d'images pour "fins dernières"Ici, l’Abbé Rohrbacher met un point d’honneur à opérer une distinction, non pas une séparation, entre la fin naturelle et surnaturelle de l’homme. Il est à noter que sa réaction est due à son constat d’ignorance de cette distinction à son époque.
En effet, chaque catholique aura entendu parler vaguement d’un ordre naturel et d’un ordre surnaturel. Un ordre, de façon brève, étant le rapport qui existe entre la fin et les moyens, un ordre naturel incombe nécessairement une fin naturelle, et il en va de même pour l’ordre surnaturel.
Ainsi, dans l’ordre naturel, l’homme fut créé pour une fin naturelle avec des moyens proportionnés à sa nature, fin naturelle qui consiste à servir Dieu et à le connaitre. Dans l’ordre surnaturel, l’homme fut créé pour une fin surnaturelle avec des moyens qui sont au dessus de sa nature, fin surnaturelle à laquelle l’homme est élevé par pure bonté de Dieu, consistant à connaitre Dieu par ses œuvres, mais aussi tel qu’il est en Lui-même et tel qu’Il se voit Lui-même. Dans cet ordre surnaturel, la fin se nomme la gloire et le moyen se nomme la grâce.

Dom Weiss, entre autres, synthétise tout à fait cette question catéchétique : « Le chrétien appartient à deux mondes qui doivent s’unir en lui de la manière la plus étroite. Comme homme, il vit dans l’ordre naturel, comme chrétien, il vit dans l’ordre surnaturel. Comme homme, il doit tendre vers Dieu, le maître et le terme de l’ordre naturel. Comme chrétien, il doit diriger ses aspirations vers Dieu, l’auteur et le consommateur de notre foi (Hebr., XII, 2.). En d’autres termes, il doit tendre comme homme vers sa dernière fin naturelle ; comme chrétien, vers sa dernière fin surnaturelle. Nous avons déjà suffisamment montré dans les deux premiers volumes de cet ouvrage, que depuis son élévation à une fin surnaturelle, l’homme ne peut plus atteindre la fin naturelle sans la fin surnaturelle. Mais ceci ne détruit nullement la possibilité d’établir une distinction entre ces deux fins et ces deux ordres. ». Quoi de plus clair donc. Nous tâcherons d’ailleurs  de vous  rapporter très prochainement des écrits de ce brillant apologiste.
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De l’infaillibilité et de l’autorité du concile œcuménique.

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M. De Maistre nous semble avoir expliqué qu’imparfaitement et à demi l’infaillibilité, sous le point de vue théologique. «  L’infaillibilité dans l’ordre spirituel et la souveraineté dans l’ordre temporel sont, dit-il (1), deux mots parfaitement synonymes ; l’un et l’autre expliquent cette haute puissance qui les domine toutes, dont toutes les autres dérivent, qui gouvernent et n’est point gouvernée, qui juge et n’est point jugée.»
Cette prétendue synonymie, cette identité n’est pas réelle. L’infaillibilité est plus que l’absolutisme, que la puissance suprême, qui ne connait point ici bas de supérieurs. Cette indépendance, ce droit de commander en maître, de juger sans contrôle et en dernier ressort, entrent sans doute dans l’infaillibilité ; mais ce n’est pas là précisément ce qui la constitue.

L’infaillibilité est la faculté, soit intrinsèque et essentielle comme dans Dieu, soit de privilège comme dans l’Eglise, de ne pouvoir errer. Le droit d’imposer une décision en découle, mais il en est distinct, comme une conséquence de son principe. La souveraineté tire sa force de l’infaillibilité ; toute puissance qui n’est pas infaillible, n’est pas absolue; car ses arrêts, de fait ici-bas irréformables, sont sujets, s’ils sont iniques et faux, à être annulés ou par un législateur plus éclairé, ou par la vérité qui juge au ciel. Au contraire, la puissance infaillible n’est en aucune manière subalterne et subordonnée; elle se confond avec l’autorité de Dieu, avec sa véracité qui prononce par un organe humain.

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