L’invasion Islamique en France : analogie avec le diagnostic de l’Abbé Meinvielle

« L’histoire aussi l’a prouvée, point par point. Les faits nous disent que le processus de déchristianisation, entrepris par l’humanisme de la renaissance et de la révolution française, et qui a atteint aujourd’hui son apogée dans la révolution soviétique est un processus typique de la judaïsation du monde, c’est-à-dire dans lequel les plans judaïques de domination universelle et absolue sur les chrétiens sont en train d’atteindre leur accomplissement. » Nous dit l’Abbé Julio Meinvielle.

Il ajoute un peu plus loin : « En outre, on démontre que tant la Renaissance que la Révolution protestante, l’Encyclopédisme pendant le XVIIIème siècle, la Révolution française, la capitalisme, la contamination des peuples par le libéralisme et le socialisme, le communisme, la révolution soviétique, ont été en grande partie forgé par les juifs, qui en ont certainement bénéficié au détriment des peuples chrétiens. »
(Source : Le juif dans le mystère de l’histoire – Abbé Julio Meinvielle)

Pour ce qui est de la question sur le but et l’origine de l’invasion mahométane en France, que nous sommes forcés de constater actuellement, la réponse est donc ici :

Le Psaume 44 annonce la venue du Christ – Saint Augustin

https://i0.wp.com/s1.e-monsite.com/2009/08/25/11/60314413saint-augustin-27-jpg.jpgLe quarante-quatrième psaume est le premier de ceux à la tête desquels on lit ce titre : « Pour ce qui doit être changé », et ces autres paroles: « Cantique pour le bien-aimé ». Le Christ s’y trouve très-clairement désigné « Il est le plus beau des enfants des hommes ayant la forme et la nature de Dieu, il n’a point cru que ce fût pour lui une usurpation de se dire égal à Dieu ».

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Saint Augustin démontre que l’abolition des rites de l’Ancienne Alliance a été prédite dans les Ecritures

https://i0.wp.com/media.evangelizo.org/images/artists/s/schefer_ary/large/Saint_Monique_and_Saint_Augustin.jpgNous devons d’abord réfuter une erreur commune parmi les Juifs : à les entendre, les livres de l’Ancien Testament ne nous concerneraient en aucune manière, puisque nous observons, non les anciens rites, mais des rites nouveaux. A quoi vous sert la lecture de la Loi et des Prophètes, puisque vous ne voulez point en observer les préceptes ? Voilà ce qu’ils nous disent, parce que nous ne pratiquons pas la circoncision du prépuce sur les enfants mâles; parce que nous mangeons des viandes déclarées immondes par la Loi ; parce que nous n’observons point, d’une manière charnelle, leurs sabbats, leurs néoménies, et leurs jours de fêtes ; parce que nous n’immolons à Dieu aucune victime tirée de nos troupeaux, et que nous ne célébrons point la pâque avec un agneau et des pains azymes ; parce qu’enfin nous négligeons d’autres anciens rites, que l’Apôtre désigne sous le nom générique d’ombres des choses futures. Saint Paul les appelait ainsi, car, de leur temps, ils annonçaient la révélation des mystères à la connaissance desquels nous avons été appelés, afin que, dégagés des ombres anciennes, nous jouissions de leur pure lumière. Il serait trop long d’engager avec eux une discussion sur chacun de ces points en particulier, de leur faire comprendre comment, en nous dépouillant du vieil homme, nous pratiquons la circoncision sans nous dépouiller de la chair de notre corps; de leur dire que nous apportons, dans nos mœurs, la sévérité qu’ils apportent dans le choix de leurs viandes : en un mot, de leur montrer que nous offrons nos corps à Dieu, comme une hostie vivante, sainte et agréable; qu’au lieu du sang des brutes, nous répandons nos âmes intelligentes en de saints désirs, et que nous sommes purifiés de toute souillure par le sang de Jésus-Christ, comme par le sang d’un agneau sans tache. A cause de la ressemblance de son corps avec un corps de péché, le Sauveur a été figuré parles boucs des anciens sacrifices, et celui qui reconnaît en sa personne la plus grande victime, ne fait point difficulté, en face des branches de la croix, de le considérer comme le taureau de la loi mosaïque. Trouvant en lui notre repos, nous observons véritablement le sabbat, et pour nous la célébration de la nouvelle lune n’est autre chose que la sanctification d’une vie nouvelle : notre pâque, c’est le Christ ; la sincérité et la vérité, voilà nos azymes; le vieux levain ne s’y trouve pas, et s’il y a d’autres mystères figurés par les présages antiques, nous ne nous arrêterons pas maintenant à les expliquer; cela est inutile : nous nous bornerons donc à dire qu’ils ont eu leur perfection en Jésus-Christ, dont le règne n’aura pas de fin. Toutes choses devaient, en effet, se trouver accomplies en Celui qui est venu, non pour détruire la Loi et les Prophètes, mais pour les accomplir (Matt. V, 17).

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Saint Augustin – Abandon des juifs plus clairement prédit par Malachie

Saint AugustinLe sacrifice des chrétiens est offert partout, sur la terre et dans le ciel. Enfin, ô Juifs, voulez-vous compromettre votre salut en résistant au Fils de Dieu, et détourner de leur vrai sens ces paroles prophétiques pour les expliquer suivant les inclinations de votre cœur ?

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